Comme chaque année, DEA a amené ses élèves en voyage pédagogique. Cette année, Covid oblige, on a joué la sécurité en choisissant un voyage à Paris comme destination. Embarquez avec nous dans ce périple de 4 jours aussi fou qu’épuisant !

Notre aventure débute un dimanche après-midi, parking de DEA, les élèves arrivent, valises à la main, sourire aux lèvres, prêts en à découdre avec un trajet de 7 h en bus direction la capitale !

Après avoir été bien sage dans le bus, on arrive, on découvre l’hôtel et première soirée parisienne du séjour. 

 

 

Premier jour de notre voyage à Paris :

Le lendemain, départ de l’hôtel à 9 h direction le Musée Grévin. On est encore tout frais, même pas peur de l’heure de marche à la fraîche qui nous attend.

Arrivée là-bas, en bons touristes, on mitraille la devanture du musée, on est accueilli par un portrait de Céline Dion, on se met dans l’ambiance.

La visite attaque, on en prend plein les yeux, spectacles de sons et lumières puis on rentre de le vif du sujet, de la cire et encore de la cire (non, nous ne sommes pas chez l’esthéticienne, on en est sûrs), 200 personnalités sont là, on admire, on se laisse tenter par les karaokés proposés, on teste les fauteuils de  » The Voice », bref on passe un bon moment, mais il est temps de partir se restaurer.

Ensuite, c’est l’exposition Banksy puis direction la Basilique du Sacré Cœur toujours en bons touristes que nous sommes. On grimpe, on s’essouffle, mais la vue en vaut la peine, le soleil tape (mais la cote nous avait déjà bien réchauffée), on profite de ce moment comme dans les films.

En parlant de film, on enchaîne sur le Moulin Rouge et la visite de Pigalle puis quartier libre pour tout le monde jusqu’au lendemain.

Deuxième jour du voyage à Paris :

Il est mardi, 9 h 30, direction l’Arc de Triomphe.

Les yeux sont petits, ça baille un peu, mais la journée ne fait que commencer, on remonte les Champs Élysées, on reluque les vitrines et on se dirige vers la Place de la Concorde pour voir l’Obélisque de Louxor (qui est empaqueté tel un savane de Brossard pour cause travaux… tant pis pour nous).

Un passage par le Jardin des Tuileries, une arrivée à la Place Vendôme pour finir devant l’Opéra Garnier, on marche, on marche, mais ça n’empêche pas qu’à l’heure du quartier libre, c’est cession shopping avant de rattaquer la soirée (ce qui se passe à Paris reste à Paris donc on passe au mercredi).

Mercredi, La JOCONDE et la Dame de Fer :

Mercredi 10 h, visite du Louvre, on admire, on se sent tout petit, mais on cherche aussi le Starbucks, car le café, c’est la vie dans des journées comme ça !

Ensuite, il est venu le temps des cathédraaaaaaaales, on se rend à Notre Dame de Paris, qui est aussi en réparation donc on profite juste de l’architecture extérieure, puis direction la Dame de Fer, j’ai nommé, Madame La Tour Eiffel.

On marche toujours, on voit le Pont Neuf, le Pont des Arts, le Pont de l’Alma (tristement célèbre avec l’accident de Lady Di), le pont d’Iéna, le Pont Alexandre III, le Pont d’Avignon (non, je plaisante, c’était juste que j’étais lancée dans les ponts), pour enfin arriver au Champ de Mars et se trouver nez à nez avec la majestueuse Tour Eiffel. Des groupes se forment, certains vont faire la sieste, d’autres décident de grimper à la cime, on se donne RDV à 20 h 30, car ce soir, c’est soirée disco… euh… soirée croisière, pardon !

20 h 30, on est sapé comme jamais, on embarque, repas aux petits oignons (sans oignons), musique, le panorama magique qui défile sous nos yeux, émerveillés, pour le coup, y a pas d’autres mots.

Le bouquet final, c’est l’arrivée devant la Tour Eiffel au moment pile poil où elle se met à scintiller, on en deviendrait presque poète tellement c’est beau.

On retourne au quai et on s’organise pour la dernière soirée, des trottinettes nous emmèneront vers notre destin (plutôt vers un bar, mais ça fait moins rêver)…

Retour à la maison 🙁

Et voilà, c’est fini, dernière nuit, dernier matin d’emplettes pour ceux qui n’ont toujours pas acheté les traditionnels souvenirs, grass’ mat’ pour les autres. Ainsi s’achève ce petit voyage à Paris !

Le car nous récupère et direction le PEV, la maison.

Comme dirait Orelsan, « au fond, j’crois qu’la terre est ronde pour une seule bonne raison, après avoir fait le tour du monde, tout ce qu’on veut, c’est être à la maison ».

voyage-a-paris-2k22-dea-formation

Consultez nos différentes actualités ici.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *